Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 11:38

OGM MENACES ÉCONOMIQUES, POLITIQUES ET SOCIALES

Le mal économique général

Les graines d’OGM se vendent beaucoup plus cher, en petites quantités que en grosses, ce qui crée un fardeau financier pour les petits fermiers. De plus, un système à deux niveaux, privilégie le soja OGM, destiné à l’exportation.

Agriculture Biologique

 

La pureté des gènes, au taux actuel de prolifération des gènes OGM, sera perdue dans un délai de 50 à 100 ans. C’est la fin des cultures et de l’alimentation biologique.

 

Un producteur de maïs du Texas a perdu sa récolte, quand elle a été souillée par du maïs OGM.

 

Les fermiers biologiques emploient le "Bt" (une bactérie : le thuringiensis), comme pesticide naturel. Il apporte au cultivateur, une aide inestimable. Il est administré seulement à certaines heures, et sous une forme diluée, afin de nuire seulement aux insectes ciblés qui s’attaquent aux plantes cultivées. Il se dégrade rapidement dans le sol. En revanche, le maïs, les

pommes de terre et le coton génétiquement modifiés Bt - un tiers des récoltes OGM des USA -

exsudent ce pesticide. Il est présent dans chaque cellule, et se répand sur les champs entiers au-delà de la fin des récoltes. O,n l’a vu rester dans le sol pour pas moins de 243 jours. Cela augmente l'utilisation du Bt, d’un million de fois, dans l'agriculture des USA. Le résultat global, selon les biologistes, sera la fin de l’agriculture biologique. Un modèle a prévu que si tous les fermiers des USA cultivaient le maïs OGM Bt, la résistance se produirait dans les 12 mois. Les scientifiques à

l'université de Caroline du nord ont déjà découvert une résistance au Bt parmi les parasites (mites) qui se nourrissent de maïs. L'EPA exige maintenant des producteurs d’OGM, qu’ils plantent de 20 à 50% dde leurs surfaces avec du maïs non OGM-BT, afin d’essayer de contrôler les risques et d'aider le papillon monarque à survivre.

 

DEPENDANCES

Des technologies Terminator

Les fermiers deviennent complètement dépendants des fournisseurs de graine. Suite aux accords, que Monsanto a passé avec les fermiers, leur interdisant de conserver des graines, on leur a envoyé  des détectives pour les contrôler.

Des technologies de l’arnaque.

Arnaque à chaque étape de la croissance des plantes : la pousse, les feuilles, les fleurs et les fruits, qui oblige les fermiers à employer certains produits chimiques de déclenchement s'ils veulent une moisson : c’est la dépendance économique approfondie. Ces technologies déposent des brevets à un rythme furieux.

 

Production des Fermes

Moins de diversité, de qualité, de quantité et profits illusoires, voilà les conséquences des OGM, censées sauver le monde de la faim. L'agriculture de technologie élevée, offre de plus grands rendements. Les techniques d'agriculture biologique, elles, intercalent différentes variétés, ont des rapports beaucoup plus élevés. Ce modèle s'applique mieux à la ferme familiale, qui alimente la majorité du tiers monde.

Même pour les champs commerciaux, les résultats sont incertains. Dans une étude concernant 8.200 essais en conditions réelles, le soja Roundup a produit moins que le soja non-OGM (étude de

Benbrook, ancien directeur conseil d'agriculture à la National ; confirmée dans une étude à l'université de l'institut du Nébraska pour les ressources agricoles). Le soja OGM de Monsanto ajoute 5 contraintes différentes. Le Dr. Elmore a trouvé que les graines OGM, bien que plus chères, produisent 6% de moins que leurs parentes non-GM, et 11% de moins que dans les récoltes conventionnelles à rendement très élevé. "le rendement pour le maïs Bt, est plus faible, mais les coûts en termes d'insecticides, engrais et travail rendent l’avantage financier aux OGM".

 

La fragilité de la future agriculture due à la perte de la diversité biologique.

Pendant la famine irlandaise de pomme de terre du 19ème siècle, les fermiers ont accru les variétés de pommes de terre, ce qui a permis d’éviter une maladie lors des récoltes. En revanche, au Pérou, on compte des milliers de variétés de pommes de terre au - ce qui permet l'adaptabilité et des ressources constantes pour la résister à cette « rouille ». Les chercheurs agricoles accordent donc le plus grand prix à la variété. La « rouille » de la pomme de terre attaque actuellement les récoltes russes de pomme de terre et les manques, menaçant de pénurie, certaines régions. L’hiver sera dur. En janvier 2000, le Times de New York temps de NY relate un épisode d’ulcère du citron dans le sud de la Floride méridionale, menaçant sérieusement les 8,5 milliards de dollars de l’agro - industrie des agrumes, Les plantations de coca sont elles aussi, mises en danger par une maladie semblable, à un niveau international. Voilà le type de danger qui menace, du fait de la disparition des variétés de graine, au profit des OGM.

 

42. L’utilisation des OGM signifie abaissement des rendements et utilisation accrue des pesticides.

Une étude de Rodale prouve que le meilleur des techniques en agriculture biologique - en utilisant un

compost normalement riche - peut produire une résistance plus élevée à la sécheresse et des plus hauts rendements que ce que peuvent les tentatives technologiques courantes. Dr. Charles Benbrook, a montré qu’en OGM, un soja demandait des quantités 2 à 5 fois supérieures en herbicides que le soja conventionnel.

 

La monopolisation des productions de nourriture conduit à un changement rapide et radical du régime humain. Il a été rendu possible par les fusions et les acquisitions rapides qui ont permis la prise des commandes de l'industrie agricole aux USA. Parmi les 1500 compagnies de graines dans le monde entier, deux douzaines possèdent plus de 50% de l'héritage commercial des graines de notre planète. En 1998, les cinq producteurs principaux de graines de soja régnaient sur 37% du marché. Un an après, les cinq principaux règnent sur 51% du marché, suite à de nouvelles acquisitions boursières. Pour la production et les ventes de graines de maïs, les quatre compagnies principales régnaient sur 87% du marché en 1996.  En 1999, les trois principales se partageaient 88% du marché (Dupont ayant acquis Pioneer, Monsanto ayant acquis Holden et DeKalb, et Novaris). Sur le marché des graines de coton, Delta et Land Pine se partagent maintenant 75% du marché.

La concentration chancelle. Les associations de producteurs voient diminuer la concurrence entre les prix et peu d’améliorations dans la distribution ; les petites fermes familiales disparaissent. Le revenu annuel moyen y est descendu tout au long de la dernière décennie. Un quart d’entre elles, vivent au-dessous du seuil de pauvreté, aux Etats Unis nationale –des revenus sont recherchés hors de la ferme pour pouvoir survivre. Un modèle semblable se développe en Europe.

 

Effets à long terme sur les approvisionnements alimentaires.

La production de nourriture, ainsi monopolisée, la rend dépendante des décisions de quelques

compagnies et de la viabilité de leurs stocks de graines. Comme au Pérou, ne restent que quelques poches de graines diversifiées, pour assurer la résilience à long terme de l’alimentation du monde. Elles se situent dans le tiers monde. Si ces territoires

indigènes sont troublés par l'avance des biotechnologies, la vitalité à long terme de tous les approvisionnements alimentaires du monde est mise en danger.

 

Liste des produits transgéniques autorisés que vous pouvez trouver dans votre assiette (liste non limitative) :
vous pouvez aussi consulter la liste détaillée élaborée par Greenpeace sur son site francophone :

http://www.greenpeace.fr/campagnes/ogm/liste.html

En Europe : aspartame, colza, levure, maïs, soja, tomates (sous forme de sauce).

Dans d’autres pays; Etats-Unis, les plus avancés sur ce point, mais aussi Canada ou Chine. amylases, aspartame, colza, coton, crevettes, enzyme de fabrication du fromage, maïs, ormeaux, poisson-chat, pommes de terre, saumon, soja, tabac, tomates,                                                                            et aussi l'hormone de croissance pour bovins (rBGH) dont on retrouve des traces dans la viande et le lait et qui fait actuellement l'objet d'un litige entre l'Europe et les Etats-Unis au sujet de l'importation de cette viande en Europe.

En cours d’approbation : arachides, asperges, bananes, betteraves, blé, brocolis, carottes, chicorée, chou-fleur, citrons, concombres, fraises, framboises, kiwis, laitue, luzerne, melons, noisettes, noix, orge, papayes, pastèques, patates douces, poivre, pommes, raisin, riz, sucre de canne, tournesol.

OGM : les autorités françaises veulent la confidentialité sur les études sanitaires



Début 2005, le Comité indépendant de recherche et d’information sur le génie génétique (CRII-GEN), présidé par Corinne Lepage, avait  obtenu, après 18 mois de procédures, des études sanitaires sur les risques liés aux OGM. Il avait demandé à l’époque la levée du secret industriel sur les tests de toxicité des OGM. Mais l’Etat français, dans une note adressée à la Commission européenne le 19 septembre, demande que ces études restent confidentielles.

« Non content de faire prendre des risques inconsidérés aux consommateurs, du fait de l'absence d'études publiques indépendantes et sérieuses, le gouvernement tente d’imposer auprès de la Commission Européenne la stricte confidentialité sur les études toxicologiques réalisées par les firmes agro-semencières » a déclaré Corinne Lepage, présidente du CRII-GEN et de CAP 21. L’ancienne minsitre de l’environnement a en effet fait savoir que « dans une note des autorités françaises adressée à la Commission Européenne, l’Etat français cherche à contourner l'avis favorable ,donné par la CADA à la requête du CRII-GEN sur le droit à communication des études de toxicologie de 90 jours sur rats nourris avec le maïs modifié génétiquement Bt11 ». La Commission d’accès aux documens administratifs avait en effet admis que les études de toxicité menées par les groupes d’agro-technologies soient rendues publiques.  Ainsi, pour le maïs MON 863 du groupe Monsanto, dont la justice allemande a ordonné la communication de l'étude des effets sur les rats, la note des autorités françaises estime, au contraire, que « de telles communications, fondées sur des données brutes et études isolées utilisées dans le cadre de l'évaluation des risques sont susceptibles d'entacher la confiance de l'opinion publique dans le processus de gestion des risques mais également de nuire à la position concurrentielle de l’entreprise ».
« Chacun pourra mesurer l’importance que l’Etat accorde à l’application du principe de précaution, nouvellement inscrit dans la Constitution »,souligne CAP 21, qui rappelle par ailleurs que des dispositions communautaires autorisent la publication des informations relatives aux effets sur la santé des OGM (article 25 de la directive 2001/18/CE).

Course contre la montre pour l’homologation

Alors qu’il aura fallu 18 mois pour que le CRII-GEN, -association composée de médecins, de cancérologues, de juristes et de représentants de la grande distribution- obtienne la communication de résultats sur les tests effectués par les groupes Monsanto et Syngenta concernant les risques sanitaires liés aux OGM, ces efforts semblent aujourd’hui remis en cause par les positions prises par l’Etat français. « Nous nous sommes aperçus que les documents de la Commission du Génie Biomoléculaire (CGB) sur les études des OGM, habituellement publics, étaient devenus secrets, expliquait Corinne Lepage lors d’une conférence, tenue en mars dernier . Nous lui avons donc demandé de nous les transmettre, ce qu’elle a fait, mais en effaçant des pages entières, notamment des résultats de tests en laboratoire effectués par le groupe Monsanto ». Le CRII-GEN s’était alors adressé au Ministère de l’agriculture, qui lui envoie 5000 pages de documents, sans qu’aucun ne corresponde à sa demande, et constate que les tests pratiqués sur les rats ne figurent pas dans le dossier. Motif : les tests sur la santé sont considérés comme confidentiels par les autorités, alors qu’une directive européenne de 2001 stipule le contraire. « Les tests n’ont en effet rien à voir avec le secret industriel, qui s’attache à la formule de l’OGM elle-même, laquelle n’est évidemment pas mise en cause », souligne le CRII-GEN. Les 5000 pages reçues permettent néanmoins aux experts d’avoir connaissance de quelques études, dont celle relative au maïs « MON 863 » de la firme Monsanto. « Les conclusions font état de nombreux effets biologiques sur les rats, comme l’augmentation significative des globules blancs chez les mâles, la baisse des globules rouges et l’augmentation de la glycémie chez les femelles. Pour 3 autres OGM examinés par la CGB, d’autres anomalies ont été relevées, comme l’augmentation du poids du foie et des reins, qui sont des organes de régulation de la toxicité », explique le professeur Gilles-Eric Séralini, président du Conseil scientifique du CRII-GEN.  Alors que les OGM comportent un risque significatif pour la santé de l’être humain, les tests sur animaux de laboratoire ne sont pourtant pas une obligation, contrairement aux médicaments. Conséquence : les rares études qui existent sont financées par les groupes eux-mêmes et restent confidentielles. Une opacité dénoncée par le CRII-GEN, qui demande l’ouverture d’un débat scientifique sur ces résultats « cachés ». » « Le maintien de la confidentialité relative aux tests pratiqués sur les animaux montre que l’on est très loin de l’évaluation transparente qu’on est en droit d’attendre face à un enjeu aussi important que celui de la santé publique », souligne le Comité. Gilles-Eric Séralini fait observer pour sa part que ce sont ces études privées qui nourrissent les dossiers d’autorisation de mise sur le marché et qui ont permis à certains experts de plaider l’innocuité, sans que le reste de la communauté scientifique n’ait voix au chapitre. « Cette opacité est une insulte faite aux consommateurs et à la science, s’indigne-t-il. Nous savons que les OGM ne sont pas évalués parce que les protocoles de tests coûtent cher, jusqu’à 800 000 euros,  et rendraient ces produits beaucoup moins rentables ». Les producteurs d’OGM seraient, semble-t-il, dans une course contre la montre pour l’homologation de leurs produits, les effets sur la santé et l’environnement pouvant aujourd’hui être connus très rapidement. Même cas de figure pour les herbicides qui sont spécialement conçus pour être absorbés par les plantes transgéniques. L’équipe du professeur Seralini avait ainsi mis en lumière les effets du Round-Up, herbicide commercialisé par Monsanto. Testé sur des lignées de cellules placentaires humaines, le Round-Up serait à l’origine de graves perturbations endocriniennes et toxiques, et provoquerait des fausses-couches ainsi que des naissances prématurées aux Etats-Unis en milieu agricole. Pourtant, 99% des plantes OGM sont conçues pour ce type d’herbicides, sans qu’aucune évaluation sérieuse et transparente n’ait été réalisée.

Véronique Smée
Mis en ligne le : 05/10/2005

SITES EN FRANCAIS  

1.        http://www.confederationpaysanne.fr/anapro/ogm.html (Site de la Confédération paysanne)

2.        http://www.ecoropa.org/camp.htm (Site d'Ecoropa ; approche scientifique du problème des OGM)

3.        http://www.e.Groups.com/list/ogm (Liste d’échange d’informations sur les OGM)

4.        http://www.francemedicale.com/genetique3.html (En français ; donne liste des fournisseurs en agriculture biologique)

5.        http://www.globenet.org/ape/ogm/ogm.html (Site d'Agir pour l'Environnement)

6.        http://www.greenpeace.fr/campagnes/ogm/sommaire_ogm.html (Site de Greenpeace France)

7.        http://www.jouy.inra.fr/dpenv/do12.htm (Site de l'institut National de la recherche Agronomique ; contient un rapport interessant sur les risques des aliments transgéniques)  (En français ; donne liste des fournisseurs en agriculture biologique)

8.        http://www.multimania.com/ogm (Information et campagne contre les OGM)

9.        http://www.multimania.com/terresacree/index.htm

10.     http://www.ogmdangers.org (site de OGM dangers, lance un APPEL contre la brevetabilité des êtres vivants)

11.     http://www.rio.net/solagral/pub/cdp/n46/somm46.htm (documentation sur les aliments transgéniques)

12.     http://www.terreactuelle.com (Site consacré à l'agriculture biologique)

 

SITES DANS D'AUTRES LANGUES

1.        http://www.psrast.org/indexgen.htm  (site de Physicians and Scientists for Responsible Application of Science and Technology ; s'appuie sur des données scientifiques)

2.        http://matu1.math.auckland.ac.nz/~king/Preprints/book/genes/genes.html

3.        http://userwww.sfsu.edu/~rone/Genetic%20Engineering.htm

4.        http://www.bio-integrity.org (Site de Alliance for Bio-Integrity ; milite pour le droit de manger non-transgénique ; première organisation à attaquer en justice la Food and Drug Administration américaine pour avoir autorisé la commercialisation des aliments transgéniques sans avoir effectué de recherches scientifiques approfondies)

5.        http://www.solbaram.org/articles/clm505.html

6.        http://www.dorway.com/possible.html (sur l'apartame)

7.        http://www.envirolink.org/orgs/shag/

8.        http://www.essential.org/crg/(s'appuie sur des données scientifiques)

9.        http://www.ethics.ubc.ca/brynw/

10.     http://www.europarl.eu.int/dg4/stoa/en/publi/pdf/gmostudy.pdf (Site du Parlement européen)

11.     http://www.foe.co.uk/ (Site de Friend of the Earth - Royaume-Uni)

12.     http://www.free.de/gentec/ (contient des archives pour recherche)

13.     http://www.genetic-id.com (méthode de détection des OGM)

14.     http://www.purefood.org/index.htm (Site de Organic Consumers Association)

15.     http://www.greenpeace.org/~usa/reports/biodiversity/roundup

16.     http://www.holisticmed.com/aspartame/

17.     http://www.icgeb.trieste.it/biosafety/bsfmain.htm (Site de International Centre for Genetic Engineering and Biotechnology ; contient référence et résumé des 1700 articles scientifiques publiés sur les risques liés à la diffusion d'organismes transgéniques)

18.     http://www.iquest.net/ofma/ (infos pour agriculteurs et producteurs bio)

19.     http://www.natural-law.ca/genetic/geindex.html (site canadien)

20.     http://www.natural-law.org/news/newsletters/03_geneng/contents.html (Site américain)

21.     http://www.natuurwetpartij.nl/genetische_manipulatie/index.htm (en néerlandais - publient une liste des produits non transgéniques)

22.     http://www.netlink.de/gen/ (en allemand et en anglais)

23.     http://www.NewScientist.com/nsplus/insight/GMWorld/GMFood/Rifkin   (Site de la revue scientifique New Scientist qui publie un très intéressant article de Jeremy Rifkin)

24.     http://www.rafi.org/   (Site de Rural Advancement Foundation International)

25.     http://www.safe-food.org (Site de Mothers for Natural Law contenant des informations pratiques , comme la liste des fabricants américains n'utilisant pas d'OGM ; veut récolter 1 million de signatures d'Américains avant la mi-octobre 98 pour exiger l'étiquetage des produits transgéniques)

26.     http://www.sage-intl.org (Site de Students for Alternatives to Genetic Engineering)

http://www.truefoodnow.org/index.html?news (site de Greenpeace à l'intention des personnes concernées par les OGM)

 

Partager cet article
Repost0

commentaires